Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le nouveau visage du militantisme

Le nouveau visage du militantisme
Publicité
Archives
13 avril 2015

Mentions légales

Les conditions d'utilisation de la plateforme de blogs et les règles à respecter.

Présentation

Le blog http://militantvirtuel.canalblog.com/ est un blog dans le cadre du Module Expression, communication, documentation du Lycée d' Aix Valabre à Gardanne (13).

Éditeur

Responsable de la rédaction du blog : Schellenberger Camille

Hébergement

Le service http://militantvirtuel.canalblog.com/ est hébergé par canalblog.

Propriété intellectuelle    Synthèse des documents et sources d'information utilisée sont publiées dans la Bibliographie

Protection des données personnelles 

aucune information personnelle n'est collectée à votre insu. Aucune information personnelle n'est cédée à des tiers.

Conditions d'utilisation du site

L'utilisateur de ce site reconnaît disposer de la compétence et des moyens nécessaires pour accéder et utiliser ce site.

Il est invité à respecter les bons usages de l'internet, en particulier,dans l'utilisation des adresses électroniques qui y figurent.

Publicité
Publicité
13 avril 2015

Bibliographie

http://fr.wikipedia.org/wiki/Anonymous_%28collectif%29

http://www.terrafemina.com/culture/culture-web/articles/9255-mobilisation-numerique-l-une-nouvelle-culture-militante-r.html

https://www.univ-paris1.fr/fileadmin/Centre_doc_ufr11/TUNA_Yasemin_M2R_SIP_2011.pdf

http://influence-politique-des-reseaux-sociaux-internet.e-monsite.com/pages/france/le-militantisme-sur-les-reseaux-sociaux.html

http://ecorev.org/spip.php?article61

Le nombre peu exhaustif de sources d'explique du fait que beaucoup de mes textes sortent exclusivement de ma tête à partir de mes connaissances personnelles.

 

13 avril 2015

Conclusion

Nous avons vu dans ce blog, quel allié surprenant Internet constituait pour le militantisme. Il permet de faire connaitre ses idéaux au-delà les frontières, bravant les différences sociales et d'agir en faveur d'une cause qui nous tient à coeur. Il est désormais possible de communiquer avec le monde entier facilement en rapidement, et donc de faire changer les choses plus rapidement et efficacement. Il permet de se renseigner sur des sujets dont on n'avait pas ouïe dire jusqu'à présent et d'ouvrir les yeux sur d'inombrables choses.

Cependant, nous avons également vu qu'Internet était à double tranchant puisqu'il est dangereux pour ses utilisateurs, encore plus pour les militants. Outre la quantité affligeante d'inepties pondues sur le web et gobées par des personnes un peu crédules ou non initiés, il présente un risque en terme de légalité et de sécurité. Cela est d'autant plus vrai selon la cause défendue.

Il est donc important de bien se renseigner, se faire sa propre idée et de réfléchir à la question : " Ma cause justifie-t-elle les moyens encourus ?", de bien s'entourer et se protéger , de ne pas braver les lois dans un élan de désobéissance civile si ce n'est pas justifié et surtout faire attention à ne pas nuire aux autres au profit de sa propre idéologie.

A vous de faire bon usage de ce que vous trouvez sur internet, n'hésitez pas à taper du poing sur la table et réveiller le monde, son histoire s'est écrite avec les révolutions et c'est vous, le peuple qui les avez accomplies.

13 avril 2015

Hola sur le métier d'écologiste

Les réseaux sociaux permettent également de partager des informations dont on oserait pas parler an public, Le capitaine Paul Watson met en garde sur le métier d'écologiste, je vous copie-colle ici son texte publié sur F*cebook :

"

MORT AUX ÉCOLOS !

Le métier d’écologiste est l’un des plus dangereux au monde


Être un écologiste ou un défenseur de la vie sauvage est désormais considéré comme l’une des activités les plus dangereuses au monde.

Nous faisons face quotidiennement à des intérêts personnels très puissants et dangereux. Ils nous surpassent en nombre, et ils appartiennent à des réseaux dans le monde de la finance et de la politique. Ils sont sans pitié, et ils traiteront avec brutalité toute personne qui s’interposera entre eux et les ressources ou espèces qu’ils ont en ligne de mire.

Au cours de toutes ces années, on m’a battu, emprisonné, on m’a tiré dessus, et menacé à de multiples reprises. Fort heureusement, ni moi, ni aucun membre de mon équipage n’avons été blessés.

Ces deux dernières années, j’ai été victime d’une attaque judiciaire de l’Institut japonais de Recherche sur les Cétacés (ICR), qui s’est terminée en victoire pour Sea Shepherd. Mais l’ICR n’a pas renoncé à lancer ses juristes contre nous. Nos ennemis ont tout l’argent nécessaire pour nous attaquer encore et encore devant les tribunaux, et quand ils échouent, ils passent à de violentes attaques en haute mer, là où leur gouvernement fermera les yeux sur tous leurs actes.

J’ai connu et soutenu des militants de terrain qui ont été assassinés parce qu’ils défendaient la nature, et dans la plupart des cas leurs meurtriers n’ont jamais été arrêtés et traduits devant la justice.

Combien de cas cela représente-t-il ? Selon une étude récente du journal The Guardian, 908 militants ont été assassinés entre 2002 et 2013, soit une moyenne de deux par semaine. Et ces chiffres augmentent chaque année, passant de 51 tués en 2002 à 151 en 2013.

Malheureusement nous n’entendons jamais parler de la plupart d’entre eux, car ce sont généralement de pauvres militants de terrain s’attaquant aux problèmes de leur propre communauté.

L’an dernier, malgré les tentatives du gouvernement du Costa Rica pour minimiser l’importance du meurtre de Jairo Mora Sandoval, nous avons pu faire parler de cette affaire dans les médias, et des suspects ont été arrêtés. Bien que Jairo ait été battu à mort à Moins Beach pour avoir protégé des tortues de mer, un porte-parole du gouvernement a d’abord tenté de faire passer ce meurtre pour un accident.

En fait, une étude intitulée « Deadly Environment » réalisée par Global Watch a démontré que 80% des meurtres d’écologistes ont eu lieu en Amérique Latine. Le Brésil est le pays le plus dangereux, avec 448 meurtres sur 908. De ces 448 meurtres, seuls 10 ont conduit à des poursuites judiciaires, ce qui signifie qu’au Brésil, 438 meurtres de militants sont restés non élucidés. 54 meurtres ont un lien avec la police ou l’armée.

Ces statistiques sont très préoccupantes pour Sea Shepherd, car nous avons des groupes Sea Shepherd avec des projets actifs au Brésil, au Costa Rica, au Chili, en Argentine, au Mexique, en Équateur, au Sénégal, au Libéria et au Japon.

MOURIR POUR DES CRÉDITS CARBONE

Au Honduras, le second pays le plus dangereux pour les écologistes, 93 fermiers pauvres de la région fertile du Bajo Aguan ont été tués depuis 2010 dans des conflits liés à la terre, qui les opposent à l’agro-industrie et à l’expansion des plantations de palmiers à huile qui font l’objet d’un trafic mondial dans le cadre des lucratifs crédits carbone. Le pays est quadrillé par des escadrons de la mort qui recherchent les fermiers anti-palmiers.

Par une coïncidence sinistre, alors que j’écrivais cet article, j’ai reçu le bulletin suivant :

« Le gardien chef du parc national de Virunga, Emmanuel de Mérode, a été blessé par balles aujourd’hui dans une embuscade sur la route qui va de Goma à Rumangabo. Atteint à la poitrine, il se trouve dans un état stable mais sérieux. »

C’est quelqu’un que je connais. J’espère qu’il survivra à ses blessures.

En 2002, j’ai déjeuné avec l’écologiste Jane Tipton à Sainte Lucie. Un an après, elle était tuée d’une balle dans la tête pendant un trajet en voiture. Ce meurtre demeure non élucidé.

C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai refusé l’extradition au Costa Rica, où il y a un contrat sur ma tête. C’est un pays où pas un seul meurtre d’écologiste au cours des dix dernières années n’a été élucidé.

Jamais aucun écologiste ou défenseur de la nature n’a tué quelqu’un. Mais si cela arrivait, cela ferait les gros titres de la presse internationale.

Aujourd’hui nous vivons dans un monde où le simple fait de brandir un signe de protestation fait de quelqu’un un éco-terroriste et une cible. Mais nous pouvons nous faire tuer sans qu’un seul journaliste de la presse institutionnelle ne lève un sourcil et encore moins un stylo.

Le message est clair. « Mettez-vous en travers de nos profits, et nous vous tuerons ».

Avec le premier ministre australien Tony Abbott décrivant les écologistes comme des agents de Satan, et le premier ministre canadien Stephen Harper qualifiant les défenseurs de la nature de menace pour la sécurité nationale du pays, le message politique est clair. La chasse à quiconque voudrait défendre la Terre est ouverte.

908 activistes écologistes assassinés ! Et pratiquement personne ne le sait, et sans les rares journaux encore honnêtes qui restent, comme le Guardian, personne n’aurait su qu’autant d’écolos se font descendre sur le terrain.

L’une des raisons pour lesquelles Sea Shepherd se met si en vue dans les médias avec sa propre émission de télévision (Whale Wars), c’est parce que nous n’avons pas l’intention de nous laisser liquider dans l’ombre. Tuez l’un d’entre nous, et le monde entier le saura.

Malheureusement, le glas va sonner de plus en plus souvent, au fur à mesure de la diminution des ressources naturelles et de la destruction des écosystèmes. Le problème, c’est qu’il y aura un moment où le Mouvement Ecologiste rendra les coups. Je tiens beaucoup au principe non-violent du mouvement écologiste. Nous avons une histoire noble, en fait c’est le seul mouvement mondial qui présente le refus total de la violence comme une solution. Je ne voudrais pas le voir prendre le chemin de la violence et de la loi du talion, mais c’est un risque qui va augmenter s’ils continuent à nous tuer.

Malgré notre histoire sans tache, les médias institutionnels continuent à vomir leur propagande sur la violence des écologistes. On ne nous voit pas à cheval, armés de fusils de chasse, cherchant la confrontation avec le BLM 1. Dans l’esprit de nos ennemis, être violent c’est brandir un signe de protestation, bloquer un navire baleinier ou faire un film. Ils répètent toujours les mêmes mots, comme « éco-terroriste, extrémiste, ou activiste ».

Pourtant, quand un navire baleinier japonais coupe délibérément un bateau Sea Shepherd en deux, personne n’est arrêté, ni même interrogé. Lorsqu’un défenseur de la nature comme Jairo Mora Sandoval demande à plusieurs reprises une protection pour les tortues et pour sa propre personne, on l’ignore, puis on le tue. Lorsque le premier ministre d’Australie Occidentale tue illégalement des requins en danger d’extinction, ceux qui tentent de sauver les requins sont menacés de prison.

L’exécution aujourd’hui même d’Emmanuel de Mérode va faire du bruit dans les médias belges parce qu’il est originaire de Belgique, mais elle sera probablement ignorée par les grandes chaînes internationales, sauf s’ils peuvent la caser entre la dernière sottise de Kim Kardashian et un autre sujet idiot à la mode du moment.

Ce qui est clair, c’est que le monde devient vite de plus en plus dangereux pour ceux d’entre nous qui veulent protéger la biodiversité et les écosystèmes. Il faut que nous montrions plus de prudence et que nous nous occupions plus de notre propre protection.

Et il y a des gens qui me demandent pourquoi je porte parfois un gilet pare-balles ?

Mon vieux gilet a déjà été percé une fois par une balle.


Capitaine Paul Watson."

Le capitaine est cité plusieurs fois sur ce blog, non pas que je sois une de ses adeptes mais il constitue pour moi un bon exemple pour ce blog.

 

Le rôle d'internet ne vous parait peut-être pas évident dans ce cas-là, or il l'est totalement, sans ce partage sur le réseau social, peu de personnes voulant s'engager dans cette voie se rendrait compte des risques encourus.

13 avril 2015

Reflexion: Se forger sa propre opinion

Nous avons vu précédemment le caractère dangereux d'internet quant au militantisme. On peut finir en prison, risquer sa vie, son avenir professionel, s'égarer, alors comment éviter cela au maximum ?

L'important est de se forger sa propre opinion, en effet s'il est utile d'ouvrir les yeux, il l'est encore plus de bien les ouvrir et dans le bon sens. La notion de bonne ou de mauvaise et bien entendue subjective, néanmoins on peut considérer que toute cause allant à l'encontre des droits de l'homme est une cause ne méritant pas que l'on se batte pour elle. Là est l'enjeu aujourdhui : L'humain . Il faut considérer ce qui est bon pour soi-même et pour son projet, accepter les points de vue différents sans hésiter à se faire entendre et surtout cesser de croire aveuglément tout ce que l'on lit, voit ou entend. Au cours de notre vie notre opinion peut changer de multiples fois, souvent influencée par notre entourage.

L'important est de bien se renseigner, vérifier ses sources, aller vérifier soi-même si possible, se poser les bonnes questions et réfléchir à deux fois avant de se lancer à corps perdu dans un bataille.

Le militant marche tel un funambule sur son fil, faisant l'équilibre entre ses opinions et les libertés d'autrui, le bien et le mal et tente de ne pas tomber , ni dans l'excès ni dans la censure.

Publicité
Publicité
13 avril 2015

Un exemple de collectif militant: Les Anonymous

Comment un blog traitant de militantisme pourrait-il ne pas parler des célèbres Anonymous ?

Anonymous est un collectif d'Hackitivistes qui défendent la liberté d'expression, encourageant à la désobéissance civile.

Ils sont un excellent exemple, de par leur caractère anonyme  ( la sécurité ), le fait qu'ils soient constitués de citoyens ordinaires ayant un jour décidé de défendre cette cause, leur caractère populaire (ils défendent la société).

Au fil de ses actions de piratage informatique , le collectif au masque du célèbre conspirateur Guy Fawkes s'est forgé une empreinte, un poids .

En effet si le monde et ses gtransactions tourne autour d'Internet, ce sont bien les hackeurs qui pourraient faire pencher la balance.

Parmis leurs actions les plus marquantes on peut distinguer leur rôle leur du printemps arabe : Les Anonymous ont répondu présents dès le début des révolutions, surtout pour faire face à la politique de censure exercée par les gouvernements arabes. Ceux-ci ont en effet permis à de nombreux blogueurs (exemple : Lina Ben Mhenni en Tunisie) de ces pays à contourner la censure pour pouvoir communiquer sur la situation.

 

13 avril 2015

Les inconvénients

Internet comporte son lot de désavantages, et ceux-ci ne sont pas négligleables. En effet le premier inconvénient porte sur le caractère souvent illégal des actions; diffamation, dénonciation, casses etc... Le militant s'expose à des peines et chacune de ses actions est répréhensible. Le fait d'utiliser un pseudo ne suffit parfois pas, puisque tout est traçable sur Internet et rien n'échappe aux autorités.

Le second inconvénient majeur réside dans la véracité des faits exposés sur le net, car s'il est effectivement possible à n'importe qui de divulguer des informations, il est  tout à fait probable qu'elles soient fausses. Parfois même, ces "militants" utilise ce terme comme couverture, et produisent l'effet inverse, ce sont des personnes avec de mauvaises intentions qui surfent sur la vague de méfiance de la population envers les gouvernement pour arriver à leurs fins.

Il est également possible de se faire embrigader dans une cause qui n'est en aucun cas une cause juste, de faire une erreur de jugement et de se retrouver dans un conflit humain et politique grave.L'exemple le plus probant est certainement celui du Djihad, au nom d'une sacro-sainte guerre, des gens sont recrutés via les réseaux sociaux , principalement des jeunes, pour aller se faire massacrer et tuer d'autres innocents. Tout cela au nom d'une religion que certains ne conaissaient pas quelques semaines auparavant.

Sources :http://rue89.nouvelobs.com/2014/10/21/comment-facebook-mis-voie-djihad-255616

13 avril 2015

Les avantages

Nous vivons dans une société où les médias jouent un rôle important, ils portent l'opinion publique et l'actualité mondiale. Les médias dits de masse sont colporteurs d'informations plus ou moins véridiques.

Internet joue un rôle important lorsque les médias ne sont pas en  phase avec l'opinion, en effet il est possible de réagir quasi instantanément sur internet pour contrer une idée reçue ou une information érronée. Ce mécanisme de compensation est encore plus net dans les régimes dictatoriaux, où il permet à la population brimée de s'exprimer et d'alerter le monde sur sa population. Dans ce cas là, internet joue le rôle que les médias traditionnels ne jouent pas. 

Ils permettent de rassembler toutes les classes sociales, tous les âges autour d'un seul et même point de vue.

L'information est rapide, accessible et diffusée dans le monde entier.

L'influence d'internet est utilisée par les militants pour faire contre poids avec les grandes entreprises, lobbys et autres qui jusqu'à présent n'étaient pas inquiétés du fait de leur importance.

 

12 avril 2015

Internet et la politique

A l'heure où le taux d'absentéïsme n'a jamais été aussi élevé, surtout chez les jeunes, internet joue un rôle à double tranchant. A la fois source de désinterêt, il permet également un reveil politique des populations. Internet omnibule la population et surtout les jeunes, les sort de la réalité, il les détourne des questions sociétales telles que la politique. Mais il permet à ceux qui s'y intéressent de s'informer, se forger un avis et le partager.

Les réseaux sociaux sur la toile ont joué un rôle important dans les deux dernières campagnes présidentielles, car ils représentent un électorat nouveau. Parmi ces mouvements, qui vivent et se développent sur Internet, on trouve les « Indignés », un mouvement jeune venu d’Espagne qui s’organise sur Twitter.

On remarque une nette évolution de la population qui s’engage dans la politique à travers les réseaux sociaux. En France, 31% des utilisateurs de réseaux sociaux Internet déclarent en effet avoir déjà pris part à une activité militante et 15% disent avoir laissé un commentaire sur un site traitant d’un enjeu politique. Le plus intéressant est la tranche d’âge concernée par ce nouveau militantisme. On observe en effet que les 18-29 ans sont plus susceptibles que leurs aînés d’initier une démarche militante et par la suite de participer à un acte militant. Ces internautes n'ont  que peu de points communs, aussi bien au niveau des revenus qu’en terme de niveau d’éducation, ce qui forme une "population militante" très hétérogène. On est donc bien loin des clichés qui décrivent le militant comme étant vieux, syndicaliste et fonctionnaire, mai sest  bel et bien un "monsieur tout le monde".

Les réseaux sociaux ont donc une grande influence politique, en effet un simple changement de profil des militants et donc des électeurs peut faire basculer l’échiquier politique. Internet est donc à craindre par la classe politique.
Internet permet l'organisation de manifestations rapides comme les Flashs mobs, qui consistent à se réunir en un endroit pour dénoncer quelque chose, en très peu de temps pour éviter d'avoir affaire à la justice.
La flash mob les plus évocatrice en terme de politique est celle de 1969 en Hongrie, où les participants avait dénoncé le printemps de Prague, bravant les autorités.
Source : http://influence-politique-des-reseaux-sociaux-internet.e-monsite.com/pages/france/le-militantisme-sur-les-reseaux-sociaux.html#
12 avril 2015

L'influence des réseaux sociaux

Avec l'avènement des reseaux sociaux, c'est toute une société qui en est chamboulée, et de par ce fait le militantisme évolue.

Très populaires, les réseaux sociaux sont utilisés par une grande partie de la population, ils permettent de communiquer vite, en masse, et au yeux de tous tout en pouvant se cacher derrière un pseudo.

Encore plus utilisée par les ados et jeunes adultes, ils sont une opportunités en or pour recruter de nouvelles personnes à une cause, ces derniers ayant encore un esprit maléable et quelque peu naïf.

Un simple "like", un simple partage ou "retweet" et c'est tout votre entourage qui est informé de ce vous avez fait, de ce que vous défendez et qui peut donc s'interesser à votre cause, ou au contraire la décrédibiliser.

Son utilisation s'est banalisée ces dernières années, à tel point que les célébrités l'utilisent ainsi que des personnalités politiques, ce qui explique peut-être une partie de leur poids .

L'influence des réseaux sociaux est telle qu'elle a maintenant un poids dans la justice, on peut remarquer des cas ponctuels de mobilisation comme lors de l'affaire de l'employée du Supermarché Cora, qui fut renvoyée pour une faute mineure et dont l'histoire avait émue le web, l'agitation provoquée par les réseaux sociaux ont fait que la justice a tranché en sa faveur.
Il en est de même pour l'histoire de F. de la Morlette qui avait martyrisé un chat et là encore la mobilisation a permis une condamnation exemplaire (bien qu'a mon humble avis encore insuffisante).
Il s'agit de cas ponctuels où l'internaute décide de se battre pour quelque chose "d'humain".
Les réseaux sociaux ont joué également un grand rôle lors de manifestations pour la liberté, comme lors du Pritemps arabe, où les actions étaient organisées sur internet et publiées au dernier moment pour encourir le moins de risque.
Ces "social network", avec leur utilisation grandissante, se forgent un poids indiscutable dans notre société, ils sont à la source de bien des conflits et permettent une avancée incroyable en terme d'activisme, bien qu'ils comportent également leurs risques.
Publicité
Publicité
1 2 > >>
Publicité